Un rayon entier est réservé aux vins et champagnes dans les grandes surfaces. D’un côté, il y a les bouteilles de cru pas cher. D’un autre, il y en a ceux qui valent une petite fortune. Les différents types de vins posent également problème aux non-connaisseurs. Entre vin blanc, rosé et vin rouge, le choix n’est effectivement pas évident. Voici quelques conseils pour s’y retrouver.
Le vin rouge, un apéritif pour les plats de viande rouge
À point ou saignante, la viande rouge est l’ingrédient principal de plusieurs mets gastronomiques français. Bœuf bourguignon, papillotes de veau, entrecôte pannée ou steak tartare, ces plats donnent tous l’eau à la bouche. Toutefois, quand il s’agit de déguster, le vin rouge reste incontournable. Il est ainsi d’usage d’acheter un cru équilibré dont un Bordeaux Supérieur. Aussi, le Saint-Émilion saura plaira aux adeptes de vins à saveurs corsées.
Le vin blanc, il s’assortit avec les plats de fruits de mer
Si le vin rouge est recommandé aux fans de la viande de zébu et de mouton, dans les provinces où les poissons gras et gambas sont les rois de la gastronomie, le vin blanc bat son plein. Le Pinot Blanc et le Muscat sont, à ce titre, préconisés pour accompagner les plateaux de fruits de mer. Les cuvées légères sont très estimées pour leur côté léger et goûteux. Néanmoins, à défaut de vin blanc, un doux vin rouge fera l’affaire.
Le vin blanc sec, pour les aliments moins caloriques
Après les festivités de décembre où la dinde farcie et la bûche de Noël sont au rendez-vous, il est impératif de perdre quelques kilos. Cette privation ne concerne cependant pas les vins. Pour 100 ml, le vin blanc sec est le moins calorique, avec 86,4 cal. Vin rosé, vin rouge et vin blanc liquoreux le suivent de près, avec respectivement 86,8 cal, 89,5 cal et 101,3 cal. Les différences sont tout de même minimes. Il n’y a alors aucun mal à en déguster avec du gratin de légumes lors de son régime.
Le vin blanc, s’il s’agit de repas végétarien
Bien qu’il soit conseillé d’accorder ses spaghettis à la bolognaise à du vin rouge, les accords ne sont pas absolus, même pour les plats 100 % légumes. Néanmoins, il reste d’usage de sélectionner un vin par rapport à la couleur de sa sauce. Les concoctions à sauce blanche verront à la table du vin blanc ou du rosé. Le vin rouge, quant à lui, permettra de relever la saveur des plats en sauce rouge dont les carottes cuites à la vapeur et les gratins de courgettes.
Le vin rosé, s’accommode avec des cuisines exotiques
Au-delà des produits du terroir, la cuisine exotique est appréciée en guise d’entrée, en plat principal et en dessert. Ses particularités épicées ou sucrées-salées éveillent le sens du goût. Afin de faire plaisir à son palais, l’idéal serait de choisir un bon vin rosé. Ici, il ne s’agit pas forcément d’un cru à 100 euros. Une liqueur douce et fraîche, obtenue à un prix raisonnable, saura épouser ces plats aux arômes prononcés.
Plusieurs variables sont à observer afin de choisir son vin. Si l’accord met-vin en est le principal, il faut également tenir compte de son prix et de son millésime. La marque figure-t-elle parmi les grands noms ? Dispose-t-on d’une cave pour cultiver son vin dans les meilleures conditions ? Dans quelles circonstances le vin sera-t-il dégusté ? Toutes ces interrogations priment.
Le champagne pour les occasions
Nouvel an, Noel, anniversaire, baptême, soirée de Saint Valentin… le champagne se trouve le plus souvent sur la table lors de grandes occasions. Un champagne Millésimé possède un vieillissement minimum de 3 ans. Les bonnes années sont : 1988, 1989, 1990, 1996, 1997, 1998, 1999, 2000 et 2001. La cuvée spéciale se compose de champagne brut (15 mois de vieillissement) préparé avec 3 cépages maximum idéal pour accompagne un plateau de fruits de mer. La saveur du champagne demi-sec est doux et sucrée, il accompagnera parfaitement bien un dessert ou en digestif.